
Comment créer une SASU en 2025 ? Les étapes à suivre
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Chloé Tavares de Pinho
Diplômée de l’INSEEC et de l’Université de Reims en droit des affaires.
Vous êtes un auto-entrepreneur et vous envisagez de passer de micro-entreprise à SASU (Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle), mais ne savez pas comment faire, ni si cela convient à votre activité ?
Comment passer de micro-entreprise à SASU ? Quand est-il opportun d’envisager le passage d'une micro-entreprise en SASU ? Quels sont les avantages et les inconvénients de chaque statut ? Quelles étapes devez-vous suivre pour transformer votre auto-entreprise en SASU ? Legalstart vous donne toutes les informations nécessaires pour prendre la meilleure décision pour votre entreprise et vous accompagne dans votre changement de régime.
Mini-Sommaire
Le choix du statut juridique est une étape déterminante pour tout entrepreneur, surtout lorsqu'il s'agit de s'installer seul. La micro-entreprise et la SASU sont deux options très prisées, mais qui présentent des différences fondamentales. Il est important de bien les comprendre pour choisir la structure la mieux adaptée à son projet.
La micro-entreprise (anciennement auto-entreprise) est une option fiscale proposée aux entrepreneurs individuels (EI) qui souhaitent bénéficier d'un régime simplifié tant d'un point de vue administratif que comptable. En contrepartie, le micro-entrepreneur doit déclarer son chiffre d'affaires chaque mois ou chaque trimestre et respecter un plafond de chiffre d'affaires. En tant qu'entrepreneur individuel, le micro-entrepreneur exerce son activité en nom propre. Il ne peut pas s'associer et ne pas embaucher de salariés.
La SASU est une société par action simplifiée unipersonnelle. Il s'agit donc d'une SAS à actionnaire unique. La SASU est une société. Dès lors, elle a la personnalité morale, c'est-à-dire que son patrimoine est bien distinct de celui de son fondateur. Les formalités pour créer une SASU sont plus complexes que pour une micro-entreprise puisqu'il faut rédiger les statuts, déposer le capital social, etc. En outre, en SASU, vous pouvez également prévoir la possibilité de vous associer plus tard dans les statuts, en transformant la SASU en SAS.
Quels sont les avantages de passer d'une micro-entreprise à une SASU ? Pour bien comprendre les grandes différences entre la micro-entreprise et la SASU, voici un tableau comparatif :
Caractéristiques |
Micro-entreprise |
SASU |
Nombre d’associé(s) |
1 |
1 |
Montant du capital social |
Pas de capital social |
1 € minimum |
Rédaction des statuts |
Pas de statuts |
Oui, mais grande liberté |
Responsabilité de l’associé unique |
Responsabilité limitée à son patrimoine professionnel (distinct de son patrimoine personnel depuis mai 2023) |
Limitée au montant de ses apports au capital |
Régime social du dirigeant |
Travailleur non salarié |
Assimilé salarié en cas de rémunération |
Régime d’imposition |
Impôt sur le revenu (IR) |
Impôt sur les sociétés, mais option possible pour l’IR pour les 5 premières années |
Chiffre d’affaires plafonné |
Oui |
Non |
Possibilité de déduire les charges du chiffre d’affaires |
Non |
Oui |
Dépôt et approbation des comptes |
Non |
Oui |
Activités interdites |
|
|
Quand passer d'auto-entrepreneur à SASU ? La décision de passer d'auto entrepreneur à société par actions simplifiée peut être une nécessité comme une volonté personnelle de l’entrepreneur.
En effet, pour pouvoir bénéficier du régime fiscal de la micro-entreprise, il ne faut pas excéder certains seuils de chiffre d’affaires. En cas de dépassement, vous ne pouvez plus bénéficier du régime micro-fiscal. Plus précisément, selon l'article 50-0 du Code général des impôts, vous devez changer de statut si votre activité génère un chiffre d’affaires annuel supérieur à :
Bon à savoir : si votre activité est mixte, le chiffre d’affaires global ne doit pas dépasser 188.700 €, en ce inclus un chiffre d’affaires de 77.700 € maximum pour les prestations de services.
Par ailleurs, il peut s’avérer intéressant de changer de statut d’auto-entrepreneur pour une SASU pour des raisons fiscales, sociales, ou même patrimoniales. L’intérêt dépend alors de votre situation.
À noter : les raisons motivant le changement de statut doivent être étudiées avec minutie, afin de déterminer s’il est préférable de passer d’une micro-entreprise à une EURL ou à une SASU.
Lorsque la transformation de votre micro-entreprise en SASU est motivée par le franchissement des seuils de chiffre d’affaires mentionnés ci-dessus, vous devez entamer les démarches avant la fin de la deuxième année de dépassement. En effet, si vous excédez les seuils pendant deux années consécutives, vous basculez automatiquement au régime fiscal du réel simplifié à compter du 1er janvier qui suit la 2e année de dépassement. Vous ne perdez pas le bénéfice du régime micro-fiscal si vous dépassez les seuils une seule année.
À noter : la perte du régime micro-social, quant à elle, s’effectue dès la fin de la première année.
Dans les autres cas, le bon moment pour transformer en SASU votre entreprise individuelle relevant du micro-fiscal et du micro-social dépend du contexte.
Ainsi, si vous prévoyez un développement rapide de votre activité dans les années à venir, avec l'embauche de salariés ou l’ouverture de différents sites géographiques, il est préférable d’anticiper. Passer d'auto-entrepreneur à SASU doit donc être fait préalablement, afin de mieux structurer votre entreprise pour accompagner cette évolution.
La transformation intervient dès que la SASU vous offre une structure plus adaptée à vos nouveaux projets. C’est notamment le cas lorsque :
Qu’il s’agisse d’une micro-entreprise ou d’une SASU, chaque statut comporte des avantages et les inconvénients qu’il est important de connaître.
L'un des principaux avantages de la SASU est la facilité de levée de fonds. En effet, une SASU donne accès à davantage de possibilités en termes d'investissement, car l'entrée de nouveaux actionnaires est possible par cessions d’actions ou augmentations de capital. En outre, les établissements bancaires octroient plus volontiers des prêts à une SASU qu’à un micro-entrepreneur, ce dernier présentant moins de garanties financières.
De plus, en passant d'une micro-entreprise à une SASU, vous pouvez bénéficier d'un régime fiscal plus avantageux. En effet, la SASU supporte un impôt sur les sociétés calculé sur les bénéfices réalisés (sauf option à l’IR), tandis que le micro-entrepreneur est soumis à l’impôt sur le revenu au barème progressif.
Enfin, en optant pour une SASU, vous bénéficiez d’un meilleur statut social : le président devient assimilé salarié et bénéficie donc du régime général de la Sécurité sociale, en lieu et place du régime social des indépendants (SSI). Il a ainsi droit à des remboursements santé plus avantageux et à une meilleure protection sociale.
Cependant, il y a aussi des inconvénients potentiels lorsqu'on passe à la SASU. Par exemple, cette forme juridique exige davantage de formalités administratives et fiscales, notamment l’obligation de tenir une comptabilité détaillée ainsi qu’une certaine transparence financière auprès du greffe du tribunal de commerce.
En outre, passer d'une micro-entreprise à une SASU peut entraîner des coûts supplémentaires tels que :
Bon à savoir : que vous soyez micro-entrepreneur ou en EURL, votre régime social demeure celui des indépendants, autrement nommés travailleurs non-salariés.
Avantages de passer de micro-entreprise à SASU |
Inconvénients de passer de micro-entreprise à SASU |
Facilitée de lever de fonds |
Formalités administratives |
Imposition à l’IS avec option pour l’IR pour les 5 premières années |
Coût de la transformation |
Patrimoines bien distincts |
Obligations comptables |
Responsabilité limitée de l’actionnaire unique |
|
Régime social du président de SASU plus protecteur dès que rémunéré pour ses fonctions |
Passer d'une micro-entreprise à une SASU implique certaines étapes importantes. Vous devez constituer votre SASU et lui transférer votre fonds de commerce, avant de fermer votre micro-entreprise.
La transformation d'une micro-entreprise en SASU implique la création d'une nouvelle entité juridique. Le processus de création d'une société par actions simplifiée unipersonnelle doit respecter plusieurs étapes formelles, comme indiquées par les articles R227-1-1 à D227-3 du Code de commerce.
La rédaction des statuts est la première étape pour créer une SASU. Ce document, qui constitue l'acte de naissance de la société, fixe l'ensemble des règles de son fonctionnement. Il doit mentionner des informations essentielles telles que la dénomination sociale, l'objet social, l'adresse du siège social, et le montant du capital. La souplesse de la SASU permet d'y intégrer des clauses sur mesure, ce qui justifie un soin particulier dans sa rédaction. Il est courant de s'appuyer sur un modèle de statuts de SASU ou de solliciter l'aide d'un professionnel.
La constitution du capital social est un prérequis pour l'immatriculation d'une SASU. Le montant minimum est d'un euro symbolique, mais une somme plus conséquente est souvent choisie pour rassurer les partenaires et les banques. Le capital peut être constitué d'apports en numéraire (sommes d'argent) ou d'apports en nature (biens). Les apports en numéraire doivent être déposés sur un compte bancaire bloqué au nom de la société, à la banque ou chez un notaire. Une attestation de dépôt des fonds est alors remise, un document indispensable pour la suite des formalités.
Pour rendre la création de votre SASU opposable aux tiers, une publication est nécessaire dans un journal d'annonces légales (JAL) du département du siège social. Cette annonce doit contenir les informations clés de la société : dénomination, forme juridique, capital, adresse du siège, objet social et identité du dirigeant. Une fois l'avis publié, une attestation de parution est délivrée.
La dernière étape pour donner une existence légale à la SASU est le dépôt du dossier d'immatriculation. Cette démarche se fait obligatoirement en ligne et transite par le Guichet unique de l'INPI. Le dossier doit inclure les statuts signés, l'attestation de dépôt du capital, l'attestation de parution de l'avis légal, ainsi que la déclaration des bénéficiaires effectifs. Une fois le dossier validé, la SASU est immatriculée et reçoit son extrait Kbis. De nombreux entrepreneurs choisissent de confier cette démarche à un professionnel pour s'assurer de sa conformité et de sa rapidité..
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En cas de cumul des statuts de SASU et d'auto-entrepreneur, il est fréquent que l'auto-entreprise facture des prestations à la SASU. Cette situation, bien que possible, nécessite une vigilance particulière pour éviter le risque de requalification fiscale. Les prestations facturées doivent être clairement distinctes de celles exercées au titre du mandat social de président. Une pratique courante pour sécuriser cette démarche est de rédiger un contrat de prestation de services entre la SASU et l'auto-entrepreneur, précisant la nature des services, les tarifs et les modalités de paiement.
La deuxième étape consiste à transférer la propriété du fonds de commerce à la SASU, par voie d’apport ou de cession. Lorsque le transfert du fonds de commerce se fait par voie d’apport en nature, sa valeur est incluse dans le capital social de la SASU. Dans ce cas, un contrat d’apport de fonds de commerce doit être rédigé et un commissaire aux apports doit être désigné pour apprécier la valeur du fonds.
Exception : lorsque aucun apport en nature n’a une valeur supérieure à 30.000 euros et que l’ensemble des apports en nature n’excède pas la moitié du capital social, la désignation du commissaire aux apports n’est pas obligatoire.
À noter : l’apport en nature peut être effectué au moment de la constitution de la société ou ultérieurement. Néanmoins, dans ce cas, l’apport nécessite une augmentation de capital social et génère des frais supplémentaires.
Si le micro-entrepreneur opte pour une cession du fonds de commerce à la SASU, l’opération intervient juste après la constitution. Un acte de cession de fonds de commerce doit être rédigé et la SASU doit payer à l’auto-entrepreneur le prix correspondant. Dans cette hypothèse, il est fréquent que la société emprunte la somme permettant d’acheter le fonds ou que l’entrepreneur lui accorde un crédit vendeur.
La troisième et dernière étape consiste à clôturer la micro-entreprise, dans les 30 jours qui suivent la cessation d’activité. Cette formalité s’effectue directement en ligne sur le Guichet unique.
De plus, l’entrepreneur soumis au régime micro-social doit informer le service des impôts dont il dépend dans les 45 jours qui suivent la cessation d’activité. Le chiffre d’affaires réalisé du 1er janvier jusqu'au jour de la cessation fera l’objet d’un dépôt complémentaire (cerfa 2042-C PRO) lors de la déclaration annuelle des revenus et donnera lieu à imposition.
À noter : il est impossible de passer du statut de SASU à micro-entreprise.
La transition du statut de micro-entrepreneur à celui de SASU est une étape significative qui modifie en profondeur le cadre juridique, comptable, social et fiscal de l'entreprise. Ce n'est pas une simple évolution, mais un changement de régime qui implique de nouvelles obligations et offre de nouvelles opportunités.
La SASU est une personne morale, considérée comme une entité juridique distincte de son dirigeant et de son propriétaire. En tant qu'associé unique, vos responsabilités sont limitées aux montants que vous avez investis dans la société. Au contraire, l'auto-entrepreneur n'est pas dissociable de sa micro-entreprise.
Tandis que le micro-entrepreneur est soumis à des obligations comptables réduites (livre de recettes et registre des achats), la SASU doit tenir une comptabilité détaillée régulière :
Le passage de micro-entrepreneur (TNS) à président de SASU (assimilé-salarié) a des conséquences directes sur la couverture sociale de l'entrepreneur. Le régime assimilé-salarié offre une protection plus complète en matière de retraite, de maladie, et d'indemnités journalières. Cependant, il s'accompagne de cotisations sociales plus élevées, qui sont calculées sur la base de la rémunération du président, et non plus sur le chiffre d'affaires. Ce changement de régime social est un point clé à prendre en considération pour l'entrepreneur, car il peut modifier de manière significative le coût du travail.
Dans le régime micro-social simplifié, les cotisations sociales sont calculées sur le chiffre d’affaires de l’auto-entrepreneur et versées mensuellement ou trimestriellement, selon son choix. Leur montant est différent selon l’activité qu’il exerce :
À l’inverse, le président de la SASU qui se verse une rémunération est dit « assimilé salarié ». Un bulletin de paie lui est donc établi, et il bénéficie de la même protection sociale qu’un salarié lambda, hormis l’assurance chômage.
Bon à savoir : le président qui ne perçoit aucune rémunération n’a aucune charge à payer et ne bénéficie d’aucune couverture sociale, à l’instar de l’auto-entrepreneur qui ne réalise aucun chiffre d’affaires.
Dans une SASU, les bénéfices sont, par défaut, imposés à l'impôt sur les sociétés (IS). De son côté, le président de la société est imposé à l’impôt sur le revenu (IR) sur les rémunérations et dividendes qu’il perçoit.
À l’inverse, le bénéfice du micro-entrepreneur est soumis à l’impôt sur le revenu (IR). Quel que soit le régime d’imposition choisi (micro-fiscal de principe ou option pour le prélèvement forfaitaire libératoire), l’auto-entrepreneur ne peut pas déduire les charges qu’il a réellement supportées.
Le coût du passage d'une micro-entreprise à une SASU dépend de plusieurs facteurs. Voici une estimation des principaux coûts à prévoir.
Vous devrez faire appel à un ou plusieurs professionnels pour vous accompagner dans la transformation de votre micro-entreprise en SASU : expert-comptable, avocat, notaire, commissaire aux apports, etc. Leurs honoraires peuvent varier en fonction de la complexité de votre situation et des services demandés. Pensez à demander des devis avant d'entreprendre cette transformation.
Vous devrez payer les frais liés à :
Une annonce de constitution de la SASU devra être publiée. Le coût de la publication dépend du département dans lequel vous vous situez et varie de 135 à 162 € HT.
En cas de transfert du fonds de commerce par voie de cession, une annonce supplémentaire sera nécessaire. Facturée au nombre de caractères, son coût varie également selon le département : de 0,179 à 0,232 € HT par caractère.
En cas d’apport du fonds de commerce à la SASU, l’entrepreneur peut être exonéré des droits d’enregistrements s’il s’engage à conserver les titres reçus en échange pendant 3 ans. De plus, la plus-value d’apport bénéficie d’un report d’imposition.
Dans le cas d’une cession du fonds de commerce, la SASU doit régler les droits d’enregistrement suivants :
L’auto-entrepreneur subit, en outre, l’imposition au titre des plus-values professionnelles (sauf cas d’exonération sous conditions de recettes ou de prix de cession).
Pour passer d’auto-entrepreneur à une SASU il est nécessaire d’accomplir plusieurs formalités impliquant à la fois un changement de statut juridique, de régime fiscal et de régime social. Il est donc essentiel d’étudier au préalable les avantages et les inconvénients de chaque régime, SASU ou micro-entreprise.
Pour transformer votre micro-entreprise en SASU, vous devez :
Auto-entreprise (AE) ou SASU ? Le passage de l’un à l’autre a plusieurs conséquences, notamment :
Il est possible de cumuler les statuts de micro-entrepreneurs et de SASU (ce qui n'est pas possible avec l'EURL). Il est alors possible de facturer la SASU pour les prestations réalisées en tant que micro-entrepreneur, mais uniquement si ces prestations sont bien distinctes de celles exercées en tant que président de la SASU et de la société.
Le principal désavantage du statut de SASU est le coût élevé des charges sociales. En tant que président assimilé salarié, si vous vous versez une rémunération, les cotisations peuvent représenter environ 80 % de votre salaire net, ce qui est significativement plus élevé que sous le régime des travailleurs non salariés.
Il n'y a pas de statut universellement meilleur. Le régime de la micro-entreprise est souvent cité pour ses faibles taux de cotisations sociales, calculées sur le chiffre d'affaires, mais il ne permet pas de déduire les charges réelles. Le statut d'EURL (gérant majoritaire) a aussi des charges sociales moins élevées qu'une SASU. Le choix dépendra donc de votre niveau de charges réelles.
Le passage d'une micro-entreprise à une entreprise individuelle "classique" se fait automatiquement si vous dépassez les plafonds de chiffre d'affaires sur deux années consécutives, ou volontairement sur simple demande auprès de l'administration fiscale.
Oui, il est possible de passer d'une micro-entreprise à une SARL. La procédure implique de fermer la micro-entreprise par une déclaration de cessation d'activité, puis de créer la SARL en suivant toutes les formalités juridiques et administratives.
Note du document :
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Chloé Tavares de Pinho
Diplômée de l’INSEEC et de l’Université de Reims en droit des affaires.
Sous la direction de Pierre Aïdan, docteur en droit et diplômé de Harvard.Fiche mise à jour le
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